Vos commentaires

bonsoir Step
je n'ai pas visité le site depuis longtemps, et je constate un manque de mise à jour de la liste des Shidosha en France.
Christian Oddoux nous a quitté, seul son esprit demeure maintenant. Jean-Pierre Perez, Marie Jamin et Hugo Vandecasteele viennent s'ajouter à Jean-Paul Blond dans la liste des Shidosha enseignant en France.
Très amicalement, Rémy

bonjour Step
je vois avec plaisir que vous parlez plus précisément de l'école, en citant les shidoshas désignés par le shihan, notamment pour la France. Il sera maintenant facile pour chacun désirant rejoindre l'école de contacter ou Jean-Paul, ou Christian.
Une petite précision à propos du Kepan, ce n'est pas que les élèves peuvent le signer, mais qu'il le doivent. Cependant, devant la difficulté de se rendre au Japon, il est possible de commencer sa formation sous l'égide d'un shidosha, et de prendre kepan lors de la venue du shihan en France.

J'ai découvert ton site grâce au forum techniques martiales et je suis très heureux pour toutes les informations qu'on peut y trouver.
Ton site m'est très utile pour ma perception du katori.
J'espère pouvoir te lire à nouveau sur le forum.
Christophe

bonjour Step
pour faire court, il serait intéressant que vous conduisiez des recherches sur l'école de Otake sansei et son fonctionnement, que vous parliez des shidoshas enseignant aujourd'hui en France, et que vous ameniez quelques infos aux pratiquants recherchant son enseignement.
Très amcalement, rémy

Si je puis me permettre, votre astuce au sujet du koïgushi n’est pas la meilleur solution. J’ai eu à refaire un koïgushi qui avait été « réparé » selon cette méthode et retirer la colle à bois fut un enfer. Voici une méthode que je conseillerai :
Si le koigushi ne retiens plus le habaki (en plus de travailler encore d’avantage les dégainé et rengainé) il suffit de coller une petite pièce de bois (allumette coupée dans la longueur) côté ha. Puis d’ajuster le résistance avec une petite lime aiguille (une lime vous durera une vie)
Le habaki dans le koigushi doit forcer dessus et dessous en mettant à l’épreuve les flancs du koigushi qui présente les parties les plus épaisses. En faisant forcer sur les côtés on mets à l’épreuve les parties les plus fines du koigushi (côté mune et côté ha) qui peuvent rompre lorsqu’il s’agit d’un koigushi en corne de buffle.
Dans un second temps lorsque les flancs du koigushi seront trés attaqués (en plus de vraiment se mettre à travailler les dégainé et les rengainé) il sera possible de re-plaqué de fines feuilles de de balsa facile à trouver en boutiques d’arts créatifs (mais idéalement de tilleul ou de bois de Hoki)

pratiquant depuis peu le Katori, j'ai découvers récemment le nagamaki, une arme fabuleuse de par son aspect et son caractère, et j'aimerai savoir si, parmi les enseignants de l'école Katori, il en existe qui pratiquent et enseignent ses techniques.

Pas à ma connaissance, mais bon, comme elles sont relativement limité je vous encourage à continuer de chercher.

Le nagamaki n'est pas enseignè dans le Katori shinto, toutefois, les techniques de naginata peuvent etre appliquées au nagamaki)

Merci Claudio. Depuis quelques temps, j'ai également "emprunté" des katas de jo pour travailler les estocs au Nagamaki.
Je commence à penser que le Nagamaki est une véritable arme d'étude, qui renferme de nombreuses techniques éparpillées dans plusieurs Budo.

bonjour je possède un katana ainsi qu'un wakisashi et j'aimerais acheter un nouveau katana dont l'acier soit d'une qualité un peu supérieur a la moyenne beaucoup de terme sont utilisés pour la forge je ne les connais pas tous, pourriez vous me dire ce que vous pensez d'une lame en acier plié 1095 carbon.
je vous remercie de votre réponse